Qui sommes-nous
France Dépression, créée en 1992, est une association loi 1901
sans but lucratif et reconnue d’intérêt général.
France Dépression participe également au développement de différents programmes de recherche sur les causes, les facteurs et les traitements des troubles dépressifs ainsi qu’à la prévention du suicide lié aux troubles dépressifs et bipolaires.
En tant qu’association agréée au niveau national, France Dépression représente depuis 2007 les usagers dans différentes instances hospitalières ou de santé publique pour contribuer à l’expression des usagers et à la défense de leurs droits : commissions des usagers (CDU), commissions départementales des soins psychiatriques (CDSP), comités de lutte contre les infections nosocomiales (CLIN), conseils locaux de santé mentale (CLSM).
Depuis 2013, l’Association travaille également activement à l’information, à la prévention et à la sensibilisation du public et des entreprises sur le burn-out (épuisement professionnel) et à la gestion des risques psychosociaux.
La vision de France Dépression
Devenir acteur de votre Dépression : le premier pas vers la guérison.
Nous croyons dans la capacité de la personne souffrant de dépression ou de troubles bipolaires à trouver les ressources et les outils nécessaires pouvant l’aider dans sa guérison.
Nous pensons que devenir acteur de sa maladie, c’est se l’approprier. Pour cela, France Dépression réunit les informations permettant de mieux connaître la dépression et les troubles bipolaires et de choisir les moyens et les différentes approches de soin.
Le respect des personnes souffrant de ces troubles implique de leur donner le choix quant à leur parcours de guérison et d’être à l’écoute de leur besoin sur la base d’une information la plus exhaustive possible.
France Dépression agit et communique pour que les personnes souffrant de dépression ou de troubles bipolaires bénéficient d’un diagnostic et d’une prise en charge adaptée, pour réduire les conséquences familiales, professionnels et sociales de ces troubles et qu’enfin on les reconnaisse comme des problématiques majeures de santé publique.